La situation pédagogique que j'ai choisi d'analyser est celle d'un enfant dyspraxique, ayant une écriture manuelle non-fonctionnelle et nécessitant alors de l'apprentissage de l'écriture sur ordinateur grâce au logiciel Microsoft Word. 

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Le scénario:

Il s'agit d'une séance durant laquelle l'élève apprend à utiliser des éléments de base sur Microsoft Word (changer la police, augmenter la police et la couleur de celle-ci et insérer un tableau). L'orthopédagogue lui montre comment utiliser ces outils et demandera par la suite à l'élève de reproduire la même chose. 

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Ces apprentissages de base sont indispensables, puisqu'il s'agit du point de départ de l'utilisation de ce logiciel. Le but est que le jeune soit capable par la suite d'écrire ses devoirs et les examens sur son ordinateur, ce qui favorisera donc considérablement son indépendance dans sa scolarité. En effet, sans l'ordinateur, l'élève a besoin de beaucoup plus de temps pour produire un écrit manuellement. De plus, l'écriture manuelle lui demande une charge cognitive bien plus importante que l'écriture à l'ordinateur. Ainsi l'enfant sera capable de réaliser les devoirs dans les mêmes délais que les autres élèves. 

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Confrontation du scénario grâce au modèle TPACK:

Tout d'abord grâce au modèle, on se rend compte que les connaissances de contenu font référence aux connaissances de la matière enseignée et donc l'apprentissage de l'écriture manuelle. Ensuite, les connaissances pédagogiques réfèrent aux méthodes d'apprentissages de l'écriture, qui se fait en début de primaire. Différentes méthodes d'apprentissages existent et les enseignants utilisent celle qui convient le mieux pour l'enfant. Enfin, les connaissances technologiques font référence à la maîtrise et à la compréhension en profondeur du logiciel Microsoft Word par l'enseignant.  

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Par la suite il s'agit d'analyser comment les différents pôles interagissent les uns avec les autres. Pour commencer le modèle suggère dans notre cas, d'adapter la manière d'enseigner l'écriture. Il ne s'agira donc plus d'apprendre l'écriture uniquement de manière manuelle mais également de permettre aux élèves en difficultés d'apprendre à écrire sur un ordinateur. Grâce à cette utilisation de la technologie, donc l'utilisation de Microsoft Word en classe pour réaliser les travaux qui sont donnés, les enfants en difficultés, dans notre cas, l'enfant dyspraxique aura moins de difficultés pour écrire. Il sera donc plus autonome en classe, il aura repris le plaisir d'écrire, car il ne sera plus autant peiné pour réaliser les tâches qui nécessitent l'écriture. 

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Pour finir, TPACK démontre l'efficacité de l'utilisation de la technologie en classe, si les trois pôles interagissent correctement les uns avec les autres. En reprenant notre situation, nous pouvons donc constater que l'apprentissage de l'utilisation de Microsoft Word pour un enfant dyspraxique a tout son sens. En effet, cet enfant éprouve de plus grandes difficultés pour réaliser les activités scolaires lorsqu'il est obligé d'écrire manuellement. Grâce à l'apprentissage de l'écriture sur ordinateur, il éprouvera nettement moins de difficultés dans toutes ces activités. Le jeune pourrait également être plus motivé en classe, sachant qu'il dispose d'un outil efficace lui facilitant sa scolarité. L'utilisation de la technologie pour notre scénario, implique que le jeune serait capable, avec une aide, de réaliser les travaux scolaires avec la même  chance de réussite que les autres élèves de la classe. 

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